« 100 Ans – 100 Vies » | TANZANIE - “La formation proposée par l’OIT a tout simplement changé ma vie”
Max, un jeune habitant de Dar es Salaam, a complétement changé d’avis sur l’utilité d’améliorer ses compétences après avoir suivi un programme de formation à l’entreprenariat mis en place par l’OIT qui lui a permis de créer son entreprise.
DAR ES SALAAM - Max est un jeune homme qui vit dans la capitale tanzanienne, Dar es Salaam. Il a quitté l’école très jeune mais il a toujours gardé le désir de réussir dans la vie.
Grâce à l’un de ses amis, Max avait pu apprendre le métier de soudeur et il avait finalement décidé de travailler dans son atelier de soudure.
Pourtant, la vie du jeune homme allait prendre un tour tout à fait imprévu lorsqu’il rencontra un formateur du programme de l’OIT « Gérer mieux votre entreprise » (GERME) qui l’invita à assister à l’une de ses formations.
« Cette expérience a tout simplement changé sa vie », de l’aveu même du jeune homme.
Agréablement surpris
Max avait déjà assisté par le passé à des formations en entreprenariat mais il n’avait pas du tout été convaincu de leur utilité par rapport à leur coût.
« Dans l’une de ces formations, nous étions des centaines dans une même salle et on nous a appris à fabriquer du shampooing, du savon et des vêtements locaux, tout cela en une heure. Comment pouvait-on prodiguer le même enseignement à tout le monde ? J’avais donc décidé depuis ce jour que je ne gaspillerais plus ni mon temps ni mon argent pour prendre part à d’autres formations », se souvient-il.
Il garda la même attitude jusqu’à ce qu’on lui parle de la formation GERME de l’OIT. Il décida d’y participer parce qu’il pensait que cela pouvait être quelque chose de différent et ce fut bien le cas.
Pour la première fois, il ne fut pas déçu. On lui a appris les bases de l’entreprenariat comme le marketing, la planification et le calcul des coûts. Sa décision fut alors rapide. Il décida : « Je vais créer mon entreprise ».
Dans les trois mois qui suivirent, Max travailla énormément afin de mettre de côté l’argent nécessaire pour créer son propre commerce. Son idée était de produire et de vendre des lits. Il loua alors un bureau et acheta les matières premières nécessaires. Il finit par quitter son travail et se lança cette fois réellement dans l’entreprenariat en mettant en avant la créativité, un bon service à la clientèle et un marketing bien étudié. Désormais, son affaire est prospère.
Rester réaliste
Max explique que suite à la formation, il a réfléchi et a réalisé qu’il pouvait transformer son rêve en réalité. Il avait toujours aimé aider les autres et, donc, dès que cela fut possible, il embaucha trois employés ainsi que quatre stagiaires.
Toutefois, il demeure réaliste.
« Créer une entreprise, c’est toujours un défi. Il faut trouver de nouveaux clients et s’assurer que vous leur procurez ce dont il en besoin », souligne-t-il.
« Parfois, il m’arrive de ne pas trouver de nouveaux clients pendant une période assez longue, mais la formation de l’OIT m’a inculqué le courage de répondre à ces défis », ajoute-t-il.
Max a également des projets d’avenir. « J’aimerais disposer d’un grand atelier et d’un magasin d’exposition dans lequel je pourrais présenter les produits que je fabrique. J’aimerais aussi transformer mon atelier en un centre d’apprentissage pour des jeunes gens ambitieux », conclut-il.
Grâce à l’un de ses amis, Max avait pu apprendre le métier de soudeur et il avait finalement décidé de travailler dans son atelier de soudure.
Pourtant, la vie du jeune homme allait prendre un tour tout à fait imprévu lorsqu’il rencontra un formateur du programme de l’OIT « Gérer mieux votre entreprise » (GERME) qui l’invita à assister à l’une de ses formations.
« Cette expérience a tout simplement changé sa vie », de l’aveu même du jeune homme.
Agréablement surpris
Max avait déjà assisté par le passé à des formations en entreprenariat mais il n’avait pas du tout été convaincu de leur utilité par rapport à leur coût.
« Dans l’une de ces formations, nous étions des centaines dans une même salle et on nous a appris à fabriquer du shampooing, du savon et des vêtements locaux, tout cela en une heure. Comment pouvait-on prodiguer le même enseignement à tout le monde ? J’avais donc décidé depuis ce jour que je ne gaspillerais plus ni mon temps ni mon argent pour prendre part à d’autres formations », se souvient-il.
Il garda la même attitude jusqu’à ce qu’on lui parle de la formation GERME de l’OIT. Il décida d’y participer parce qu’il pensait que cela pouvait être quelque chose de différent et ce fut bien le cas.
Pour la première fois, il ne fut pas déçu. On lui a appris les bases de l’entreprenariat comme le marketing, la planification et le calcul des coûts. Sa décision fut alors rapide. Il décida : « Je vais créer mon entreprise ».
Dans les trois mois qui suivirent, Max travailla énormément afin de mettre de côté l’argent nécessaire pour créer son propre commerce. Son idée était de produire et de vendre des lits. Il loua alors un bureau et acheta les matières premières nécessaires. Il finit par quitter son travail et se lança cette fois réellement dans l’entreprenariat en mettant en avant la créativité, un bon service à la clientèle et un marketing bien étudié. Désormais, son affaire est prospère.
Rester réaliste
Max explique que suite à la formation, il a réfléchi et a réalisé qu’il pouvait transformer son rêve en réalité. Il avait toujours aimé aider les autres et, donc, dès que cela fut possible, il embaucha trois employés ainsi que quatre stagiaires.
Toutefois, il demeure réaliste.
« Créer une entreprise, c’est toujours un défi. Il faut trouver de nouveaux clients et s’assurer que vous leur procurez ce dont il en besoin », souligne-t-il.
« Parfois, il m’arrive de ne pas trouver de nouveaux clients pendant une période assez longue, mais la formation de l’OIT m’a inculqué le courage de répondre à ces défis », ajoute-t-il.
Max a également des projets d’avenir. « J’aimerais disposer d’un grand atelier et d’un magasin d’exposition dans lequel je pourrais présenter les produits que je fabrique. J’aimerais aussi transformer mon atelier en un centre d’apprentissage pour des jeunes gens ambitieux », conclut-il.